Mathieu Crepel

© Guillaume Arrieta

En vidéo – Quand Mathieu Crepel ride la montagne et l’océan avec la même board

Baptisé « One Board, Two Worlds », le dernier projet du snowboardeur Mathieu Crepel est le fruit d’un rêve fou : celui de rider la montagne et l’océan avec la même board, sans fixation ni dérive !

Quiksilver présente « One Board, Two Worlds », le dernier projet du snowboardeur Mathieu Crepel, né d’un rêve fou : celui de rapprocher ses deux passions et de rider la montagne et l’océan avec la même board, sans fixation ni dérive.

Du premier prototype conçu ‘pour le fun’ dans l’atelier du célèbre shaper Axel Lorentz de chez Pukas, à la réalité d’une board hybride unique faite à la main, le résultat est bluffant. « One Board, Two Worlds » nous emmène entre les vagues du Pays Basque et les montagnes des Pyrénées, pour une rencontre inédite entre ces deux éléments, si chers à Mathieu Crepel.

Pour ce film, le snowboardeur souhaitait revenir à des choses simples sans objectif de performance. Il s’agissait juste de profiter de ces deux univers pour revenir au fondement des sports de glisse.

Mathieu et son acolyte Guillaume Arrieta, vidéaste-photographe, ont tourné toutes les images de cette aventure dans un rayon de 100km. Pour le snowboard, ils sont partis 4 jours dans un refuge dans les Pyrénées avant de rejoindre l’océan, cet été.

« Il y a un travail visuel original qui est créé dans ce projet afin de réussir à mettre en images les deux univers, les deux matières : l’océan et la montagne. Pour moi cela était important de réussir à ce que le spectateur puisse parfois s’interroger et faire son propre choix sur ce qu’il voit. Je parle là de la création de « double exposition » qui est pratiquée en photo mais très rarement en vidéo.»

Guillaume Arrieta

« Le projet de Mathieu était un peu fou, c’était un beau challenge pour moi mais quelle chance d’avoir pu réunir mes deux grandes passions pour le shape et le snowboard. Une belle aventure entre amis bien mise en valeur par Guillaume. It’s not the arrow, but the indian ! » Axel Lorentz, shaper de la board.

Bon visionnage !

Source : communiqué de presse Agence AOP