coupe du monde féminine 2019

Gros succès économique et environnemental pour la Coupe du monde féminine 2019

La Fédération Française de Football a publié aujourd’hui une étude sur l’impact socio-économique et environnemental de la Coupe du monde féminine 2019. Pour une première CDM organisée sur le sol français, la FFF présente un bilan plus que positif !

Véritable succès populaire en termes d’affluence et d’audiences télévisuelles (6 meilleures audiences TV de l’année 2019 en France), la Coupe du monde féminine 2019 qui s’est déroulée du 7 juin au 7 juillet dernier l’est aussi d’un point de vue environnemental et socio-économique. 

L’étude met en valeur d’importantes retombées pour le Produit Intérieur Brut avec 284 M€ dont 108 M€ de plus-value nette pour la France. Une aubaine pour les neuf villes et territoires hôtes de la compétition (Grenoble, Le Havre, Lyon, Montpellier, Nice, Paris, Reims, Rennes et Valenciennes). Ces retombées économiques significatives ont profité à de nombreuses activités, dont les secteurs de l’hôtellerie, de la restauration (18,2 M€), du transport (7,3 M€), des associations sportives et services à la personne (9,5 M€), de l’éducation, du social et de la santé (12,5 M€), du commerce (9,1 M€) ou du bâtiment (4,9 M€).

« C’est une fierté également que le football, avec l’organisation d’un grand événement sportif féminin, apporte des retombées économiques directes et indirectes significatives aux territoires et à la collectivité. L’effort environnemental est également à souligner. Dans ce secteur, l’implication de la FFF, avec la mise en oeuvre de sa politique éco-responsable, doit se poursuivre. »

Noël Le Graët, président de la FFF

Sur le plan environnemental, l’étude dévoile que 10 des 15 engagements de la Charte éco-responsable signée avec le gouvernement ont été atteints à 100 %. Un résultat obtenu grâce à l’application de mesures comme la maîtrise et l’optimisation de la consommation d’énergie et d’eau, le respect des sites naturels, l’accessibilité pour les personnes en situation de handicap et la valorisation du bénévolat, la promotion des transports doux et en commun, la politique anti-gaspillage alimentaire ou encore la gestion des déchets, leur collecte et recyclage.